OK, je n’y viendrai pas !
Je resterai désormais dans mes Cévennes. L’on y parle encore quelquefois patois !
Lorsque j’étais enfant, mon père travaillant dans les mines de charbon, nous avons côtoyé bien des étrangers, Polonais, Algériens, Siciliens, etc. Mais tout ce petit monde s’est parfaitement adapté et a fait souche ici. Ce sont maintenant de bon Français.
Mais je crains que ce processus ne se renouvelle pas.
Dommage...