@Fergus

Diminuer la charge virale ? Ca alors ! Il est actuellement « impossible » d’isoler un virus depuis une quelconque sécrétion humaine, où ils sont « impossible » à trouver. Pour le faire, il faut « cultiver » le virus à l’aide de cellules non humaines, les célèbres cellules VERO.

Cette « charge virale », que vous évoquez, n’a jamais été « mesurée » et pour cause puisqu’il est impossible d’extraire des virus directement des sécrétions. Comment parler, alors, de « diminution » de la charge « virale ». C’est une ineptie.

Les maladies respiratoires ne sont pas des maladies transmissibles. Il n’y a strictement aucune preuve de cela. Alors Fergus, vous propagez le « mythe ».
Simplement le fait que le nombre de morts des épidémies de maladies respiratoires se signale par une courbe en « cloche », dément, d’une manière catégorique, le contamination « inter-humaine ». 

Les maladies respiratoires « tombent », d’un seul coup d’un seul, sur les populations, sans aucune contamination, sans aucune propagation. Ce sont des conditions atmosphériques particulières qui déclenchent, d’une seul coup d’un seul, les épidémies de maladies respiratoires. Et ces conditions particulières comprennent, systématiquement, en hiver, la présence d’un « anticyclone », une absence de vent et de pluie. Dans ces conditions, en automne-hiver, les niveaux de pollution augmentent et les gens, ceux au système immunitaire diminué, tombent malades. Dès que les conditions météorologiques particulières cessent, l’épidémie cesse. C’est « toujours » comme ça Fergus. Alors, parler de contamination par charge virale est une totale aberration. 

Vous avoir le droit d’y réfléchir au lieu de vous enfoncer dans un dogme. Les études scientifiques, dans de très nombreux pays du monde (Italie, France, Grande Bretagne, Allemagne, Suisse, Iran, Pakistan, Vietnam, Argentine, Roumanie, Japon, Espagne, Chine) « démontrent » que les maladies respiratoires hivernales interviennent lorsque les niveaux de pollution sont augmentés. Il existe suffisamment de preuve, concrètes, pour ne pas passer à côté du sujet. Mais vous, Fergus, jouez aux médias de grand chemin, en perpétuant l’idée, totalement fausse, de la contamination.

Je vous livre en lien une seule étude mais, si vous le souhaitez, je peux vous fournir une étude scientifique par pays cité.

https://www.iqair.com/fr/newsroom/air-pollution-makes-covid-19-outcomes-worse

Pour mémoire : 
— Une augmentation de PM2,5 de 1 microgramme par mètre cube (𝜇g/m 3 ) a augmenté de 8 % le risque de symptômes graves ou mortels de la COVID-19.
— Pour chaque augmentation de 20 % des PM2,5, les cas de COVID-19 peuvent augmenter de près de 100 %.