C’est
sur l’infrastructure (c’est-à-dire l’ensemble des forces productives
et les rapports de production qui forment la base matérielle de la
société) que s’appuie la superstructure, c’est-à-dire
l’organisation, les institutions, l’idéologie, le système de
valeur, etc. et non pas l’inverse.
La
condition nécessaire (mais pas suffisante) pour que les mentalités
changent, c’est que les rapports sociaux soient d’abord modifiés.
Sinon,
on nage dans l’utopie, la science-fiction. On rêve.