« ...Christian Amblard, directeur de recherche au CNRS, les pertes dues à l’évaporation vont de 20 % à 60 %... »
A-t-il mesuré à Gibraltar le courant « Atlantique vers Méditerranée » que doit provoquer la même évaporation de la Méditerranée qui doit donc perdre la moitié de son volume l’été ?