"Dès 1881, on privilégie alors les pavés en bois debout, réalisés à
partir de planches de sapin, qui ont l’avantage d’être moins coûteux et
plus silencieux lors des déplacements. Guy de Maupassant y fait d’ailleurs référence dans sa nouvelle La Nuit :
« Les conducteurs dormaient, invisibles ; les chevaux marchaient d’un
pas égal, suivant la voiture précédente, sans bruit, sur le pavé de
bois ». Mais la grande crue de 1910 aura raison d’eux : la montée des
eaux les détache un par un, et le bois des plus résistants pourrit à vue
d’œil, ce qui pose de nombreux problèmes en termes d’hygiène."
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