Quand les enseignants et leurs syndicats auront cessé de gémir,
c’est qu’il n’y aura plus d’école, plus
de profs., tous auront fui ce milieu en décomposition avancée. Il sera alors
encore temps de reconstruire, mais il y faudra une sévère purge morale,
idéologique et plus encore : un grand remplacement comme a fait Reagan autrefois
dans le transport aérien.
On s’apercevra alors que tout était faux car malade. Que des
classes de 40 élèves formaient autrefois des gens cultivés. Que la masse salariale
des enseignants répartie autrement, plus favorable aux jeunes profs. et moins
aux retraités rapprocherait les salaires de la moyenne européenne. Que les
horaires tels qu’exposés dans cet article de façon mensongère ne prennent pas
en compte les heures de présence dans l’établissement …
J’arrête là car je sens que je vais mériter la peine capitale. Je
m’en fous, car l’enjeu est nos enfants et la survie du service public (à Paris,
déjà 40 % dans le privé : faillite du public).