Bénies soient les langues non genrées, telles que le chinois, le japonais, le persan, l’anglais même, et tant d’autres, qui dispensent au moins de ces problèmes crétinisants dont la France semble avoir le secret et qui rejoignent la question essentielle du sexe des anges qui occupaient les savants de Byzance à la veille de la chute de cette glorieuse cité.
Quant à moi, je continuerai à écrire en ignorant résolument l’écriture inclusive, sauf pour la tourner en dérision.