@samy Levrai
Non seulement ces groupes extrémistes ne sont pas condamnés pour leur parole publique, mais encore moins pour leurs actions criminelles, que ce soit le massacre d’Odessa (un reportage de RT ayant affirmé que la France avait bloqué l’enquête à l’ONU), les violences faites aux roms ou aux dissidents politiques, etc. Seulement quand leurs abjections sont devenues trop insupportables pour l’opinion publique, comme celles du commando dont la devise était « Je vole, je viole, je brûle », quelques personnes ont été arrêtées, pour aussitôt être relâchées et sorties de prison depuis un an pour soutenir l’effort de guerre, sponsorisé par l’OTAN...