« [...] s’ils avaient maintenu la persécution d’Assange sous les feux de la rampe, il serait déjà libre. »
Je me permets de souligner cette remarque, parce qu’elle explique à elle seule pourquoi les majorités restent aveugles : ce dont les 20 heures ne parlent pas n’existe tout simplement pas.
Aujourd’hui, comme l’information ne vient plus à nous, chacun doit aller la chercher soi-même, sans quoi on se fait balader.
La presse papier étant le reflet des médias mainstream, elle n’intéresse plus personne. Du reste, même Le monde diplomatique et Alternatives économiques existent au format numérique il me semble.
Mais les majorités savent-elles encore lire ? Et les rares personnes qui savent, lisent-elles autre chose que ce qui est gratuit, et dans lequel on trouve à boire et à manger ?