@alinea
je ne connais pas la pensée de Debray, comme je l’écris, je me réfère seulement à ce que l’auteur en rapporte comme de dire qu’un mur interdit le passage alors que cela n’est vrai qu’à la condition qu’il n’y ait pas de porte, ce qui n’a aucun sens !
De plus, changer d’idéologie ne signifie pas ne avoir de doctrine, seulement de pouvoir en changer.
Pour ma part, la seule doctrine qui s’impose à moi c’est la causalité à laquelle obéit la réalité, au delà, c’est l’imaginaire qui permet toutes les manipulations.
Mais si tu ne comprends pas, peu importe, le hic étant que tu te retrouve à défendre tes ennemis, car par définition un monde solidaire ne peut se faire dans un monde où le nationalisme, c’est à dire, où c’est la guerre de tous contre tous qui domine. Ici, la causalité ne laisse aucun doute et ton imaginaire n’y pourra jamais rien. Et tu peux le vérifier, les dirigeants ou ploutocrates qui affirment vouloir la mondialisation sont ceux qui poussent le plus à la guerre. On appelle cela « jouer » au pompier pyromane.