@Joséphine
Il me semble qu’il serait plus juste de dire que ces égarés ne supportent pas l’idée de la souffrance.
Ils veulent vivre dans du coton du début à la fin et ne jamais avoir à souffrir. Ce qui garantit de ne jamais vivre.
Ils n’ont pas peur du néant puisqu’en gentils moutons soumis à la doxa matérialiste distillée depuis des siècles par les « puissances de ce monde », ils y voient une fatalité qui garantira la fin de leurs souffrances. C’est précisément cela que recherchent les suicidaires : la fin des souffrances.