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Étirév 5 janvier 2023 11:07

« Selon lui, toute augmentation du niveau des salaires se traduirait par une hausse du prix moyen des marchandises et par conséquent le pouvoir d’achat des travailleurs resterait le même. » : C’est mêmepire que cela ! Explication :
Rappelons qu’à côté du rôle des partis politiques totalement soumis aux puissance d’argent, nous trouvons celui, non négligeable, des syndicats, capables de créer une situation conflictuelle permanente pour une grande majorité de la population, proie facile de tout conditionnement et aventure, en les affaiblissant et en les appauvrissant moralement et physiquement, dans un mécanisme pervers de la gestion des contraires, qui fragilise également les TPE/PME, ces énormes réservoirs d’emplois qui subissent, elles aussi, et déjà, les affres de la « crise » pour le plus grand bonheur (et profit) des multinationales.
En effet, les masses, encadrées dans des organisations guidées par les mêmes mains qui contrôlent les mouvements des capitaux, sont poussées à la grève pour obtenir des augmentations de salaires temporaires, tandis qu’en réalité elles restent victimes de la spirale de l’inflation qui ne leur laisse pas reprendre leur souffle : les avantages des augmentations étant compensés automatiquement par un accroissement des prix, aggravant chaque fois un peu plus leur misère.
Le Marxisme paraît défendre les travailleurs parce qu’il semble vouloir tout remettre au pouvoir de l’État afin d’assurer une meilleure répartition des biens et des fortunes, alors qu’en réalité son but est, en conquérant les masses ouvrières par la ruse, de tout accumuler entre les mains des « puissances d’argent », dissimulées et camouflées derrière des partis politiques qu’elles contrôlent, qu’ils soient socialistes ou communistes.
La doctrine du Marxisme rejette le principe aristocratique observé par la nature, et le remplace par la domination du nombre. Autrement dit : Le Règne de la Quantité... et les Signes des Temps.
NB : Croire que telle ou telle réforme dans le gouvernement des nations peut changer la vie morale de l’homme serait une étrange illusion ; on peut lui donner des progrès matériels, des réformes économiques avantageuses aux masses, on n’atteindra pas les profondeurs de sa vie psychique.
Or, ce sont les souffrances morales qui rendent l’existence amère.


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