@L’auteur
Le pari de Bojo, c’est qu’il pensait qu’il arriverait à négocier des accords avantageux face aux lopettes de l’Union Européenne.
Il souhaitait être hors d’Europe pour échapper à la bureaucratie (c’était d’ailleurs le principal grief mis en avant)
Mais il pensait cependant pouvoir continuer à accéder au marché unique pour exporter.
Un pied dedans, un pied dehors.
Et transformer le royaume uni, « en port franc » pour la camelotte chinoise.
Sauf que les lopettes ne se sont pas laisser faire.
Même en Irlande du Nord, l’Europe n’a rien lâché.
Et au final, il s’est retrouvé comme un con.