A ce propos, je suis nostalgique du Bal nègre de la rue Blomet à Paris, même si je ne l’ai évidemment pas connu à ses grandes heures d’autrefois.
Ce sont les Antillais eux-mêmes qui l’avaient nommé ainsi.
J’ai consacré en 2018 un article à cet établissement, contraint par la vague woke de changer de nom : Adieu le Bal nègre, vive le Bal Blomet.