@LeMerou

Copié-collé : « Mon propos était de dire, que la propagation virale, est aujourd’hui très favorisée par le déplacement rapide ».

Votre propos était surtout de dire que la « propagation » existe. Mais elle n’existe pas. 

Il n’existe aucune preuve de propagation virale. Les faits nous montrent et nous démontrent que les gens tombent malades « en même temps ».

Vous refusez d’examiner la réalité pour faire coïncider votre théorie avec votre pensée. C’est bien le problème : la propagation des maladies hivernales n’existent pas. Il se trouve que lorsque certaines conditions atmosphériques sont rassemblées, les taux de pollution atmosphérique sont augmentés, et tous les gens « respirent » ce même air pollué en même temps. Les personnes au système immunitaire diminué et les personnes présentant un endothélium vasculaire préalablement amoindri, sont victimes de ces maladies, plus ou moins gravement. C’est toujours comme ça ! 

Votre esprit bute sur les faits parce que vous êtes incapable de les examiner avec lucidité. Vous parlez de propagation, mais il n’y en a pas. Les maladies respiratoires « tombent » sur les populations parce qu’à ce moment la pollution est intense.
... «  Pourquoi les nanoparticules sont-elles délétères pour le poumon ? « Car elles sont de l’ordre du nanomètre soit un milliardième de mètre », explique le Dr Fabrice Nesslany, directeur du laboratoire de toxicologie génétique. « Invisibles, inodores, elles se logent dans les alvéoles des poumons, transloquer c’est-à-dire migrer vers d’autres organes. Au banc des accusés, principalement, les particules émises par le diesel, fines à ultra-fines, qui pénètrent très profondément dans l’appareil respiratoire et peuvent même passer à travers les vaisseaux et se retrouver dans la circulation. »

En outre, ces petites particules peuvent absorber des allergènes et les transporter très profondément au niveau du poumon. Elles ont ainsi un rôle d’amplificateur et vont aggraver la réponse immune du patient, autrement dit l’inflammation des poumons. »

Lorsque la dissonance cognitive est trop forte on « s’invente » la « propagation » pour expliquer ce que l’on ne veut pas voir.

... « Lors des pics de pollution, les infections grippales sont plus sévères et les hospitalisations augmentent. Ce projet vise à étudier les mécanisme par lesquels les particules de l’air ambiant contribuent à la sévérité de l’infection grippale. »...

• https://www.frm.org/recherches-environnement-et-sante/pollution-environnementale/aggravation-infection-grippale-avec-pollution-air
  

https://observatoireprevention.org/2017/08/24/limpact-devastateur-de-pollution-atmospherique-sante-cardiovasculaire/

... « L’OMS estime que plus de 13 millions de décès dans le monde chaque année, sont dus à la pollution »...

https://www.who.int/fr/news/item/04-04-2022-billions-of-people-still-breathe-unhealthy-air-new-who-data