En réponse à :
@Joséphine
A l’origine, le navire aurait effectivement du ramener les personnes secourues vers un port de la côte la plus proche, pour éviter le risque d’un périple hasardeux. Mais lorsque le problème d’accostage en Europe s’est posé, il était trop tard pour refaire route vers les côtes africaines.
N’ayant strictement aucun pouvoir sur les eaux autres que nationales, nos gouvernements sont mis devant le fait accompli.
D’où la seule mesure à leur portée s’ils sont acculés à devoir laisser accoster : la confiscation. Ça ne sera pas long pour assécher la filière, les navires restants seront utilisés par les organisations pour du secours de proximité s’ils veulent les conserver, et si leur but est l’exfiltration, ils pourront essayer ailleurs.
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