@Vera Mikhaïlichenko
J’ai lu votre article. Le problème, c’est qu’à partir des deux exemples retenus, les fausses couches et le pangolin, vous insinuez que Perronne raconte n’importe quoi sur toute la ligne. Comme l’a noté à juste titre Eric Morillot que vous tournez en dérision, sur un entretien de plus d’une heure, vous choisissez deux passages et passez tout le reste à la trappe. Mieux, vous insinuez que tout est du même tonneau. Or comme vous l’ont fait remarquer plusieurs Agoranautes, l’argumentaire de Perronne touche à bien des sujets de fond, d’importance majeure. Pour aussi regrettables qu’elles soient si elles sont avérées, ces erreurs sont assez anecdotiques au regard de l’ampleur et de la puissance de ses analyses, et de la force de ses arguments sur des aspects fondamentaux de l’escroquerie covidienne (interdiction des traitements ayant provoqué une hécatombe, Ordre des médecins piétinant le serment d’Hippocrate, décisions absurdes du gouvernement aux effets nocifs et dévastateurs y compris aux plans économique et social, violation tous azimuts des règles et règlements internationaux notamment touchant aux prétendus « vaccins », la liste serait interminable). Encore une fois, que vous sous-entendiez que ces deux erreurs sur les fausses couches et le pangolin

sont à l’image du reste de la pensée de Perronne, pour la connaître, me paraît assez indigne. Et d’autant plus gênant que, pour la plus grande partie de votre article, vous citez Reichstadt en le présentant comme un valeureux chercheur bénévole, alors qu’il est en service commandé pour Macron et stipendié par lui, comme l’ont utilement rappelé plusieurs Agoranautes. Vous avouerez que mises ensemble, votre extrapolation à partir de deux erreurs de Perronne et votre présentation fallacieuse de l’agent macronien Reichstadt, tendent à vous discréditer, vous et vos propos. Quelle que soit la pertinence de vos publications antérieures.