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velosolex velosolex 12 octobre 2022 18:11

@grangeoisi
Les deux tiers des intervenants ici, pour ne pas parler de l’auteur ont de grandes chances de venir de fermes à trolls. Leurs messages ne laissent guère de doute sur leur compromission. Certains sont évidents, comme « Bravo ». Il y a aussi des curiosités, comme cette « chistine néant », une paumée investie dans le dombass, et qui a crée un site. Omniprésente sur agoravox pendant plusieurs années, elle a disparu mystérieusement tout à coup...Il faut dire que sa prose était tellement manichéenne et caricaturale qu’elle était contreproductive pour n’importe quel journal en ligne. 

Toujours les mêmes éléments de languages tournant autour de la légitimité de Poutine, les horreurs, qui ne viendraient pas des Russes, mais de leurs victimes, la déchéance de l’europe et de ses valeurs, le cynisme de l’amérique qui n’auraint aucun crédit après ses guerres, l’otan qui aurait poussé Poutine à la guerre....J’en oublie bien sûr, mais leur travail de sape tient à installer au moins le doute dans la tête du lecteur moyen. 
« On appelle cela la guerre hybride menée par la Russie de Poutine, et parmi ses armes il y a les armées de trolls qui œuvrent sur les réseaux sociaux. La mission de ces faux comptes sur Twitter, Facebook, Telegram, Tik Tok, Instagram ou YouTube : asséner des éléments narratifs allant dans le sens voulu par le Kremlin. Peu importe la crédibilité des publications, l’idée consiste à générer un bruit de fond qui va permettre d’instiller le douteAvec la guerre en Ukraine, ce que l’on appelle « les fermes à trolls » tourne à plein régime. Les bâtiments de ces « fermes » appartenant à l’Internet Research Agency, Futura les avait déjà vus à Saint-Pétersbourg en Russie fin 2019. Elles œuvraient déjà depuis 2014 pour accompagner la guerre dans le Donbass et l’annexion de la Crimée par la Russie. On a également retrouvé ces trolls aux manettes dans à peu près toutes les élections majeures, que ce soit aux États-Unis en 2016, en France pour les présidentielles de 2017, ou dans les autres pays de l’Union européenne. Privées des plateformes comme RT ou Sputnik qui leur permettaient d’alimenter sournoisement leurs publications, elles sont désormais obligées d’attaquer plus frontalement leurs cibles. Plus précisément, les trolls ne créent plus vraiment de contenus, mais répondent à des publications dans les sections « commentaires ». Une technique qui leur permet de passer sous le radar de la détection des fake news par les réseaux sociaux. Aujourd’hui, leur sujet de prédilection est évidemment la guerre en Ukraine, appelée opération militaire spéciale en Russie. Selon les informations collectées par le gouvernement britannique, ils bénéficieraient d’une nouvelle infrastructure située dans une ancienne usine, toujours à Saint-Pétersbourg. »( extrait de futura)


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