@sylvain
dans ce contexte, comme déjà écrit
- respecter « un euro cotisé » = mêmes droits pour tous (pas de regimes spéciaux)
- équilibre des comptes (une évidence)
- rejeter la fausse evidence
« on vit plus vieux donc on doit travailler plus tard » : la masse de
travail doit simplement répondre au besoin pour produire, et
manifestement nous ne manquons pas actuellement de bras et de cerveaux
puisque 6 millions de personnes disponibles restent inoccupées et le
collectif leur donne un pouvoir de consommer sans production en
contrepartie. Si certains métiers sont en tension, c’est seulement un
problème de formationet de conditions de travail (rémunérations en
particulier), mais aucune raison de repousser l’age de la retraite, ou
remettre en cause les 35h.
- ne pas parler d’age de départ, d’age pivot, de nombre d’annuités de
cotisations.Mais pour équilibrer les comptes :
départ en retraite à l’age/moment choisi librement par les intéressés,
mais avec un montant mensuel uniquement fonction du total des
cotisations et de l’espérance de vie du moment. Dans la période de transition, total des cotisations sans doute a réévaluer pour certains. C’est sur ce point qu’il faut négocier sans remettre le principe global en cause.
c’est concret et équitable, et pourquoi cela ne marcherait pas ?