@charlyposte

Si un avion était tombé sur l’Empire State Building, oui, il se serait scratché sans beaucoup entamer le bâtiment. C’est du béton ferraillé dans tous les sens, même à l’intérieur, avec des murs les uns à coté des autres ne laissant que des petites pièces.

Les WTC 1 et 2 : sont faits avec une colonne centrale jusqu’au sommet. Une araignée métallique au sommet est enfoncée dans la colonne et tient les 4 façades externes par le haut. C’est le principe du bambou : au vent ça bouge (jusqu’à 1 mètre de part et d’autre), puis ça revient. 
Les dalles sols/plafonds ne sont que posées, ne participent pas au maintient du bâtiment comme le béton ferraillé. En plus, c’est du béton soufflé allégé. Donc si la colonne centrale est atteinte par l’avion, l’édifice devient fragile et après le feu, la dégringolade est facile.
Donc, pour moi, d’après ce que j’ai compris, c’est plausible.
Tout ce qui est tombé a été ramassé et expédié, en Inde ou en Chine, je ne sais plus, sans aucune analyse.

Après, la WTC7, il n’y a pas eu d’avion, l’incendie a été certainement aidée par des l’explosif.
Pentagone, chépas.

Bref, cela a dû être un truc composite entre les deux pays, mais tout m’indique que c’est la Saoudie qui l’a voulue.

Prescott Bush, le grand-père, faisait déjà affaires avec les Saoudiens. Le Pacte du Quincy est une très juteuse affaire pour les industriels états-uniens comme saoudiens.
Le père d’Oussama, Mohammed était un (déjà riche) Yéménite, immigré en Saoudie qui a fait fortune dans le BTP et décroché tous les contrats publics du pays. Un équivalent Bouygues, si on veut. Son fils, Oussama, était un « pur », révolté contre son père mauvais musulman.

Des histoires de familles quoi, avec des crises entre eux, Dallas et son univers impitoyable, mais qui fracassent un peu beaucoup en dessous, des pays et des peuples. Et ces histoires, il est impossible d’en parler, sinon, c’est tout le complexe militaro-industriel, l’Etat profond, toute l’Amérique sale que l’establishment ne peut pas mettre à jour : raison de l’enquête impossible.