@ Mélusine ou la Robe de Saphir.
Là encore, coïncidence amusante : le dernier concert auquel j’ai assisté (dans une église proche de chez moi) était donné par un quintette de jeunes musiciens classiques qui avaient choisi comme nom, la chose n’est pas banale, La mandorle. Cela dit sans rapport avec la « vulve » : celle qui semblait être la cheffe de la formation, amoureuse de l’amande, était d’origine italienne. Or, en Italie amande se dit mandorla !