@Jean Dugenêt
C’est dans la foulée du Maidam que la langue russe a été interdite et l’interdiction a été rapidement levé, tout en perdant l’officialité, suite au tollé général, et les réactions, notamment dans le Donbass.
Je note que les « crimes de guerre russes » perdent de leur prégnance dans nos médias, suite, sans doute, aux « biscuits » que les russes ont collectionné à Marioupol. La « guerre propre » n’est pas de ce monde
Quand au régiment Azov, c’est aussi par hasard, qu’on y arborait, jusqu’à ces derniers jours, des insignes et logos nazis....