Vous écrivez :
« Le courage du Russe,
est ce que l’on nomme le courage du pleutre, du médiocre, car il est, effectivement, plus facile d’écraser
un petit, que d’affronter quelqu’un de sa taille. »
Ainsi donc, selon vous, l’Espagnol
est sans doute fier, l’Allemandobéissant, l’Italien trouillard, et l’Anglais
perfide ? Et le Belge ? Il est comment le Belge ? Le Français,
je n’en parle pas, il est corageux, intelligent, de bon goût et c’est le seul à
savoir faire la cuisine et à baiser correctement !