Sur Macron, pas grand’ chose à dire : on connaît l’abjection de ce personnage, pitoyable marionnette des milieux de la finance et mauvais acteur, et qui n’a jamais eu que la violence et le mépris à la bouche. Mais avec lui, on peut penser que les Français n’ont que ce qu’ils méritent.
Quant aux enseignants, je dirais qu’ils sont punis par là où ils ont péché : cela fait des décennies qu’ils jouent les (semi-) intellectuels progressistes, pratiquant eux-mêmes une intolérance totale contre les idées qui ne leur plaisent pas, et en fin de compte toujours soumis aux mots d’ordres du système.
Ils se plaignent de la violence dans les banlieues « sensibles » comme on dit pudiquement, sans jamais mettre en cause l’immigrationnisme et le progressisme, deux de leurs mantras préférés.