Les Russes ont un vaccin contre ébola, de mémoire fabriqué sur la même technologie que le Sputnik V, à vecteurs adénovirus humain, mais ça n’intéresse pas Big Pharma, le virus ébola n’est pas si contagieux, ou trop létal pour une transmission importante, donc il n’y a pas de marché de vaccins possible dans le monde puisque les infections ont toujours été très locales. Ce simple état de fait ne peut satisfaire l’industrie car il n’est pas rentable.
Idem pour le MERS, qui s’est éteint très vite.