Je pensais dès avant son élection que l’arrivée de Biden aux manettes ne changerait pas grand chose à la politique internationale des Etats-Unis qui se détermine au Pentagone et à la NRA.
Mais je suis étonné quand même qu’il n’y ait pas plus de différence. La propagande intérieure ne s’intéresse pas à ce domaine et toute l’attention du peuple américain, comme ailleurs, est monopolisée par la « crise » sanitaire et les questions sociétales, avortement, LGBT, discrimination positive et « black lives matter ».
Une bonne partie des Américains ne sait même pas exactement où est le Venezuela (et encore moins la Syrie, autre cible récente de Biden identique à celles de son prédécesseur).