@Olivier Perriet
et pourquoi donc l’État devrait-il s’encombrer d’interlocuteurs religieux ? dignitaires qui ne représentent qu’eux-mêmes puisque ils n’ont reçu aucun mandat de représentativité de leurs concitoyens coreligionnaires.
basta, que les curés, évêques, pasteurs, rabbins, imams, moines, nonnes et autres hiérophantes s’occupent de leurs oignons, de leur encens.
S’ils veulent s’occuper de politique, bien sûr qu’ils peuvent, la république ne les met pas au ban, mais c’est en tant que citoyen qu’ils ont droit au chapitre, en laissant leur fonction sacerdotale au vestiaire, en se s’armant que leur éthique pour œuvrer à la chose politique.