En fait, le temps du dialogue et de la concertation est finie.
Quand je vois une femme voilée dans la rue, j’ai envie d’appeler les flics ou une milice pour faire le boulot. Remigration ou pas, le choix sera simple, comme en Algérie : la valise ou le cerceuil.
Il faut comprendre que ces gens ont pris pour habitude de mentir, cogner, violer, tuer, et ce sans aucun état d’âme.
Il va falloir répondre avec fermeté à ces horreurs.
Le temps n’est plus à la politique, mais à la guerre.
Et qu’on le veuille ou non, ce sera une guerre sale.