@julius 1ER
Il est un fait que l’UPR a raconté et raconte toujours des contes pour enfant s’agissant d’un éventuel Frexit. Ainsi, on n’a pas beaucoup vu François Asselineau commenté le peu d’empressement des Britanniques d’actionner l’article 50 du TCE. Ils le feront bien sûr, mais s’ils ne se précipitent pas, c’est pour une raison, et cette raison elle est simple : à partir du moment où l’article 50 est invoqué, s’ouvre un délai de 2 ans à l’issue duquel, si aucun accord n’est trouvé, l’Etat retrayant se retrouve en dehors de l’UE, sans que ses relations avec cet ensemble ne soient sécurisées.