Ce n’est pas tant l’article 50 qui donne ou non la possibilité de sortir de l’UE que le niveau de la dette contractée auprès de la BCE. La Grèce en a fait l’amère expérience, elle a examiné et repoussé sa sortie de l’UE par le constat que personne ne lui prêterait les fonds nécessaire à sa simple subsistance. Je crois que malheureusement nous ne sommes guère mieux lotis et une sortie brutale de la France signifierait un appauvrissement immédiat, il faut en être conscient.
Certains prétendront que la souveraineté a un prix, ce qui n’est pas contestable, mais la note risque d’être douloureuse.