Ho oui, Nicole !
D’autant que les « héros » allaient à guerre encadrés par les gendarmes avec l’enthousiasme que l’on devine, et gare aux récalcitrants : quelques fusillés pour l’exemple...
Pendant ce temps, les fortunes prospéraient : Schneider, Wendel, chez nous, Krupp, Thyssen en face, plus quelques banques pour le financement.
Je me demande si je ne vais pas aller de ce pas badigeonner la plaque de la rue du « Maréchal Joffre »
avec un peu de peinture rouge pour rappeler avec cette couleur le sang qu’il aimait tant...enfin celui des autres !
Bien à toi.