A Paris et ailleurs, dans les années 55 et les suivantes, dans ma petite préfecture de Bourges, enfant j’ai connu tout cela sans oublier le chiffonnier avec sa charrette à bras qui rachetait les peaux de lapins dont les poils étaient utilisés pour faire du feutre, je ne regrette pas cette époque mais la vie était plus simple, moins sophistiquée, plus ouverte sur l’extérieur, je ne savais pas que mes parents était modestes et j’étais heureux de ce que j’avais.