Il y a des lieux, c’est une évidence, il faut les préserver. Très bien le vélo, mais évitons les impacts trop forts sur l’environnement. Nos voitures s’occupent des déserts d’Amérique du sud en hiver, voilà maintenant nos vélos dans les vallées perdues des Alpes en été et autour, derrière, devant, au-dessus, toujours le même délire publicitaire... pour aller où ? Pour faire quoi ?