ticotico

@Réflexions du Miroir

Merci de votre attention. Il me paraît important de dissiper tous les malentendus concernant Cuba, c’est un peuple génial qui est en train de perdre ses qualités par la faute d’une clique nullissime incapable de voir autre chose que ses petits intérêts à court terme.

@I.A.

C’est aussi mon constat. 

L’un des plus grands drames générés par la simple existence des USA est que ceux qui pratiquent les abus néo libéraux partout dans le monde se réfèrent à ce merveilleux modèle tant vanté par le soft power US. Des films d’Hollywood aux rappeurs enchaînés d’or, ils t’expliquent d’une même voix que peu importent les dégâts et les victimes pourvu que tu puisses rouler en Lamborghini... 

Cuba aujourd’hui est l’aboutissement extrême de ce qu’amène un régime néo libéral. 

Toutes les contraintes et aucun droit pour l’immense majorité, tout le pouvoir et tout l’argent pour une infime minorité.

@ les agoravoxiens

Vous êtes formidables !

J’adore vos réactions face à un sujet qui mérite au moins une amorce de débat. Quel que soit le sujet, vous sautez sur l’occasion pour ressortir les thèmes qui vous font vibrer, la « guerre spéciale » en Ukraine, « l’arnaque écologique », le frexit, dans le cas de l’anticommunisme, on est plus proche du sujet… sans oublier ces chamailleries qu’on imaginerait plutôt dans un ehpad que dans une cour de récré.

Personne n’a même évoqué la possibilité d’actions clandestines de la CIA. Pourtant, quand un pays traverse une crise énergétique majeure et que son principal stock de carburant prend feu, on peut au moins se poser la question d’une action délibérée d’un voisin qui vous veut du mal…

Si vous connaissez un site qui permet de diffuser ce genre d’articles, je suis preneur…

@Spartacus Lequidam

A propos du « communisme » à la cubaine.

Les paroles de la chanson « Sixteen Tons » résument assez bien la situation

« You load 16 tons, what do you get ?

Another day older and deeper in debt…

…I owe my soul to the company store »

Ces fameuses company stores ont été mises en place après la fin de l’esclavage aux USA, les propriétaires des plantations y vendaient les produits de première nécessité à prix excessifs à leur « travailleurs » qui s’endettaient davantage à chaque jour de travail.

Cuba fonctionne exactement de la même manière, les salaires versés par l’état correspondent à peine à 20 % du budget nécessaire pour vivre de façon minimale en achetant dans un système de distribution entièrement contrôlé par l’état. Tout y coûte plus cher que dans Lidl européen alors que les salaires correspondent à 2 ou 3 % du smic français ! Les cubains ont la charge de compléter par eux mêmes les 80 % restants, c’est donc l’argent des émigrés qui vient combler ce déficit. Mais il y a un bon tiers de la population qui ne dispose pas de ce recours…

Fidel Castro a été sensibilisé très jeune à ce mode de fonctionnement, son père était l’un des plus grands propriétaires terriens de l’île et il payait ses ouvriers avec des bons échangeables uniquement dans ses propres boutiques, qui pratiquaient des prix… abusifs.

@CN46400

(c’est surtout un message adressé aux membres de la communauté dinosauro-stalinienne)

A part donner une mauvaise note à l’article, vos réactions faiblissent. Vous semblez à court d’arguments au sujet de « Cuba la terre sainte du vrai socialisme ». Vous n’êtes pas au niveau, vous avez des leçons à prendre du côté des dirigeants cubains. A la fin de l’épisode tragique de l’incendie de Matanzas, le génial président de la république cubaine, au milieu des décombres a déclaré « C’était une grande victoire contre le feu, et la victoire génère d’autres victoires. »

Le pays vient de perdre une réserve stratégique essentielle, le feu s’est arrêté parce que tout ce qui pouvait brûler est parti en fumée, des gamins sont morts pour rien dans l’histoire… et ce phare de la pensée parle de victoire. Voilà une réaction positive !