Et pour éviter tout risque d’invalidation, il devrait suffire que le texte de loi ne mentionne ni niqab, ni burqa, ni même voile intégral, mais interdise dans l’espace public la circulation de personnes au visage dissimulé, à de rares exceptions près comme les carnavals, les usages professionnels nécessitant le port d’un masque ou d’une cagoule et la circulation en moto.