Je vois que les grands médias (médium) français n’hésitent plus à intervalles réguliers, à nous dire combien on est nul en anglais. L’article montre bien a quel point c’est faut, mais n’insiste pas sur la grand part de l’oreille et des fréquences sonores. Cela à déjà été expliqué sur agoravox. Espérons que les journalistes comprendront un jour cet état de fait, l’oreille en fonction des pays ne comprends pas les sons de la même manière. Un scandinave developpe une reconaissance de certaines fréquences de sons très proche de l’anglais beaucoup plus fortement que nous de base. Alors si on y rajoute l’apprentissage précoce de l’anglais plus une langue imprononçable les obligeant à apprendre l’anglais pour s’ouvrir à l’international , on a pigé le tout.