« la russophobie naturelle des dirigeants actuels de l’UE, des dirigeants qui n’existeront peut-être plus en Europe demain. » Je pense qu’il y a un lapsus. Ce n’est pas une russophobie des dirigeants actuels de l’UE, c’est une Poutinophobie qui existe aujourd’hui. Demain, c’est demain. Tout dépend de la géopolitique.