Faux débat.
Ceux qui, pour raisons idéologiques ou religieuses ne peuvent pas mettre eux-mêmes fin à leurs jours savent très bien que la loi française offre les commodités nécessaires à l’accompagnement à la mort dont le refus de l’acharnement thérapeutique et l’accès aux soins palliatifs sont les principales. Et comme ça, tout le monde sauve la face avec une hypocrisie qui consiste simplement à désigner la même chose sous différents termes en fonction des circonqtances.