@pemile
Tu penses vraiment que
regarder des vidéos de viols ou de décapitations permet au quidam de mieux
comprendre ce qu’est un viol ou le djihadisme ?
Evidemment non.
C’est la démarche de
communication qui pose question.
On montre ces vidéos sélectionnées
par l’armée d’abord à un public sélectionné, puis à un autre, et à un troisième ...
Cette méthode de diffusion
crée une sorte de hiérarchie (ceux qui ont regardé, les autres) et empoisonne
la médiasphère (ceux qui ont regardé en font état, chacun avec son ressenti).
Une méthode de communication vicieuse.