Bonsoir @rosemar

"Selon une étude, relayée par Le Figaro, pour vivre plus confortablement, et ne pas être angoissés à chaque dépense, les Français auraient actuellement besoin de 588 euros net de plus chaque mois. Ce montant est estimé lors du baromètre CSA Research pour Cofidis chaque année, et il a bondi par rapport à 2022 (510 euros) et 2021 (467 euros).« 

Quand 15% des Français vivent désormais sous le seuil de pauvreté, de tels chiffres représentent des moyennes qui n’ont en fait aucun sens : l’inflation contraint certains à réduire quelques peu leurs dépenses, quand d’autres sont dès le départ déjà à l’os et ne peuvent s’assurer le minimum vital (logement, toit, alimentation, chauffage, vêtements, ...) autrement qu’en recourant à la solidarité d’associations de bienfaisance (secours populaire, secours catholique, restos du cœur, ...) désormais débordées par la demande et palliant comme elles le peuvent l’impéritie de nos »gouvernants« , exactement comme au bon vieux temps des dames patronnesses.

Ce qu’omettent bien évidemment de préciser tant franceinfo que les autres représentants de notre merdiacratie, c’est que cette inflation qui pèse si lourdement sur le budget des  »gens qui ne sont rien«  offre en fait à nos »premiers de cordée«  et autres actionnaires du CAC-40 l’opportunité de se gaver comme jamais.

Et que sans même évoquer les milliards d’€uros de budgets publics offerts à Big-Pharma pour un »vaxxxin« qui ne vaccine pas, ou encore ces autres milliards d’€uros affectés tant à la vaine prolongation du bain de sang »jusqu’au dernier Ukrainien« qu’à ces sanctions qui - sous prétexte d’écrouler l’économie russe - effondrent ce qui restait encore d’industries, d’économies et de compétitivité €uropéenne, on rappellera que si nos pâles managers n’ont absolument aucun égard à l’endroit des difficultés dans lesquelles ils plongent les citoyens de France, ils savent se montrer particulièrement généreux de l’argent public envers leurs amis.

Mais ils auraient bien tort de s’en priver quand, En Marche vers Nulle Part, une majorité d’électeurs réélit triomphalement le mignon de Maîtresse Jean-Migitte pour présider aux sombres destinées dévolues par la nouvelle aristocratie mondialiste à la »start-up« France et ses administrés.

 »Mais Dieu se rit des prières qu’on lui fait pour détourner les malheurs publics, quand on ne s’oppose pas à ce qui se fait pour les attirer. Que dis-je ? quand on l’approuve et qu’on y souscrit, quoique ce soit avec répugnance."
Histoire des variations des Églises protestantes (1688) - Jacques Bénigne Bossuet

En vous présentant mes respectueuses salutations !