Bonjour,

Exemple flagrant, de décision de politicien, n’ayant aucune connaissance réelle du monde qui les entoure. Peut être que le « patronna » industriel Teutons, à saisi certain politique par les chevilles pour les ramener sur terre.

Certes le « tout-élec » peut sembler vertueux dans le concept, mais dans son application c’est très largement plus difficile.

Car tant que la question du transport n’est pas remise en cause, toute solution ne sera qu’éphémère, voire irréalisable. Il n’y a que quatre types de transport

— Marchandise : subdivisé entre les appros et les transfrontaliers

— Professionnel : subdivisé entre le quotidien et les autres

— Loisirs : subdivisé entre les week-end, les vacances 

— Services : Tous ce qui concerne le fonctionnement sociétal, poubelles, ambulance, pompiers, police, etc.....

Le but étant de les amener à émettre moins, de les réduire aussi. Seulement « ils » touchent les fondements du modèle sociétal. Quoique pour le premier, il est largement possible de réduire son impact dans un premier temps. Pour le second aussi, mais à chaque fois, cela aura un impact économique (une réduction) et sur l’emploi.

Exemple, il est sidérant de constater les émissions du système « floral » en Europe, une simple fleur offerte à sa dulciné à un impact carbone incroyable. Le réduire c’est évidemment mettre à mal une filière génératrice d’emplois directs et indirects et une partie de C.A. d’un Pays membre. Une futilité émettrice ! il y en a bien d’autres.

Le concept de la centralisation ou concentration diffusant ensuite, est économiquement rentable, seulement quant « l’énergie » pour les transports tant aller que pour la diffusion vient à manquer ou augmenter en coût. Le concept n’est plus viable. 

Le bio-carburant, est comme le renouvelable, certes une solution possible, mais pas dans le contexte, le modèle actuel, il ne permet en rien une substitution à ce qui est aujourd’hui.

Personne ne semble prêt à remettre en question le modèle économique et sociétal pour préserver « l’environnement » ou à minima utiliser raisonnablement ce qu’il reste d’énergie fossile, pour faire une transition douce vers autre chose.