@lacsap151. « Corpuscule, corpusculaire » est un concept strictement macrophysique. Aucune extrapolation en microphysique n’est valide.
Le postulat confusioniste :
Ça fait beaucoup d’années que
la multitude des obtus insistent pour confondre trois sortes d’ondes
:
1 - Les ondes dans une
collectivité (d’atomes ou de molécules). Ainsi sont les ondes de
gravité entre deux fluides1,
et les ondes acoustiques, sismiques inclusivement. Ou en
microphysique les ondes de spin 2
dans un ferromagnétique, les phonons, les plasmons et polaritons.
2 - Les collectifs d’ondes,
tels que la lumière, ou un faisceau d’électrons ou d’ions ou de
neutrons. Ces collectifs ont beaucoup d’émetteurs individuels et
encore beaucoup plus d’absorbeurs.
3 - Les ondes individuelles
pour chaque quanton. Photon ou neutrino par exemple. Chacune aboutit
à un absorbeur individuel.
Ça fait des décennies qu’ils
dénient les types 2 et 3, et réclament que tout soit le type 1.
Autrement dit, ils dénient la limite atomique en matière
ondulatoire, afin d’obtenir les absurdités qu’ils voulaient
dénigrer – leur objectif tactique véritable.
1
Surface eau-air :
vagues, onde solitaire
de tsunami.
Air-air :
Sous le vent de certains reliefs à la forme simple, suite
d’altocumuli stables, chacun marquant un sommet de vague, en
sillage de la montagne ou de l’île. Cf. le sillage en nuages de
l’île Amsterdam :
http://cache.boston.com/universal/site_graphics/blogs/bigpicture/eobs_01_14 /e13_amsterdam_tmo.jpg
Pour
les marins, le bord au vent est celui qui reçoit le vent
avant le navire ; le bord sous le vent est celui qui
reçoit le vent après, le vent qui est déjà passé sur le navire.
Ou ici le flanc de montagne qui reçoit le vent qui est déjà passé
sur la montagne.
Eau-eau :
devant l’embouchure de l’Amazone, vagues sous-marines sur
l’interface eau de mer – eau douce, connues par le fort freinage
qu’elles infligent aux navires qui les émettent. Facilement
plusieurs mètres de hauteur mais peu visibles en surface, et
de grande longueur de train d’ondes, comparable au navire
même. Source : Traité d’océanographie physique ***.
Jules Rouch, Payot 1948.
2
Spin :
moment angulaire élémentaire, sans équivalent en macrophysique.
2.1.13 postulat confusionniste,
dénie
la limite atomique en ondulatoire, et prescrit de
confondre entre
elles toutes sortes de « ondes », chaque
onde individuelle avec tout collectif d’ondes, et
ces collectifs avec des ondes de gravité ou d’élasticité dans
une collectivité, et
identifier mathématiquement les trois,
l’individuel, le collectif et
les ondes de collectivité.
Le copenhaguisme Born-Heisenberg est fondé sur cette
entourloupe, et ça fait nonante ans que ça dure comme ça. Une
escroquerie hégémonique.
C’est moins grave pour les
photons (plus petite quantité de transfert électromagnétique) :
bosons, ils aiment bien se grouper et se synchroniser en faisceaux,
surtout sur des distances astronomiques.
C’est excessivement grave quand
on généralise cette bourde aux électrons (plus petite quantité de
charge électrique). D’une part, leurs charges électriques moins
se repoussent énergiquement ; le collectif diverge donc
énergiquement. De plus, fermions, ils s’évitent les uns les
autres, chacun dans un état quantique distinct.
L’enseignement et la
vulgarisation niaisent joyeusement à ce sujet : ils vous
racontent qu’un faisceau d’électrons dans une expérience
d’interférence type Aharonov-Bohm ont une phase.
Figures 2.3 et 2.4.