Je me demande bien quel est le rapport entre ces deux phrases :
1 - ’’ Luz laisse tomber l’hebdomadaire après avoir
refusé de caricaturer le prophète Mahomet. Voilà Jeannette Bougrab, "en
roue libre« , qui remarque que chez le caricaturiste c’est »la greffe de
couilles qui marche le moins bien« et le qualifie de »médiocre« et
»d’usurpateur ".
2 - ’’Comme si cela ne suffisait pas, voilà qu’arrivent deux islamistes
radicalisés qui semblent faire du repérage devant l’entrée du domicile
de Riss.’’
Je souligne ’’comme si cela ne suffisait pas’’
pour bien montrer le hiatus, le flou. Et comme disait l’autre, quand il y
a un flou, il y a un loup.
Jeannette Bougrab apparait
décidément comme une pièce maîtresse dans cette affaire Charlie. Ainsi
donc, ce serait elle qui poussait Charb à exciter les Musulmans et qui
pousserait ses successeurs à en faire autant ?
Alors je repose ma question : de qui et de quoi parlaient-ils, quand Charb lui aurait dit selon elle : ’’Ils n’oseront pas’’
? Dans cette séquence que j’ai vue à la télé, elle disait qu’elle
avait mis en garde Charb contre le danger d’un attentat. On voit bien
aujourd’hui que c’était un mensonge : une telle mise en garde est
antinomique de son comportement pousse au crime révélé ici par la phrase
de Gruni.
En revanche la phrase attribuée à Charb est
probablement vraie. De qui alors Charb parlait-il ? Et quelle était la
véritable nature du danger évoqué par J. Bougrab, et qui aurait suscité
cette réponse de Charb ?
Celui de virer Charb s’il n’était pas assez provocateur me
paraît constituer un bonne hypothèse, en tout cas conforme en tous
points avec cette phrase que je me fais un plaisir de reproduire une
deuxième fois ici :
’’ Luz laisse tomber l’hebdomadaire après avoir
refusé de caricaturer le prophète Mahomet. Voilà Jeannette Bougrab, "en
roue libre« , qui remarque que chez le caricaturiste c’est »la greffe de
couilles qui marche le moins bien« et le qualifie de »médiocre« et
»d’usurpateur ".