Bonjour, Pierre.
Vous écrivez « il était en légitime défense de la vie de la prochaine victime de son assaillant ». Ah bon ? je ne connaissais pas cette manière d’appréhender la responsabilité d’un tireur. ne croyez-vous pas plutôt qu’en usant de son arme en pleine rue, il aurait pu attenter involontairement à la vie d’un passant ?
Au delà de ce risque bien réel, j’ai déjà dit et écrit à propos de cette affaire que ce bijoutier (dont les circonstances atténuantes sont bien réelles) s’est, en l’occurrence, érigé en justicier dès lors qu’il n’était plus menacé, un rôle qui est du ressort des seules autorités judiciaires. Ne laissons pas notre pays dériver vers les pires travers du continent américain !