J’aime bien Pastori
Il parle avec son coeur. Même si sa colère n’est pas forcément dirigée vers les bonnes cibles, on la comprend. Car une grande partie du peuple auquel il fait référence est exsangue et déboussolé. Et l’urgence de son point de vue est d’abord sociale . Dommage qu’il ne voit pas que tout se tient et que les réformes vitales que prônent monsieur Asselineau permettrons dès lors de s’occuper de justice sociale. Il est inutile et un peu cruel de le brocarder. J’en fais moi-même mon mea-culpa.