• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Gérard Faure-Kapper

Gérard Faure-Kapper

Expert bancaire, écrivain

Tableau de bord

  • Premier article le 03/07/2017
  • Modérateur depuis le 06/07/2017
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 76 155 835
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 0 0 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : nombre de visites













Derniers commentaires



  • Gérard Faure-Kapper Gérard Faure-Kapper 5 juillet 2017 21:25

    La méthode décrite dans le lien était bonne, il y a 5 ans. Les banques ont sû réagir. Leurs avocats sont de plus en plus coriace. 


    Il faut savoir que la négociation ne marchera pas. Seule une étude très détaillée, qui prendra chaque frais d’intervention séparément, les resituera dans son contexte de solde, sera efficace. 

    En effet, et je m’en tiens aux derniers jugements, le juge veut la preuve absolue de l’infraction. 

    De plus, il faut plaider le TEG erroné et dépassant le seuil légal de l’usure. Tout doit être recalculé.

    Nous sommes très loin des conseils généraux. Et si vous allez devant le tribuanl sans une étude solide, non seulement vous perdrez, mais vous vous prendrez un « article 700 ». La moyenne est 2.000€


  • Gérard Faure-Kapper Gérard Faure-Kapper 4 juillet 2017 14:03

    Bonjour, 


    Je pense que vous n’avez pas à cacher votre aversion pour les banques, car vous la partagez avec tous les clients. A part bien sûr « j’aime ma banque » mais ce cas est unique.

    Un des grands reproches fait aux banques, ce sont les frais dantesques qui sont prélevés.

    Mon analyse est formelle. Cest frais sont illégaux et font dépasser le seuil de l’usure. Je l’ai déjà archi démontré devant les tribunaux, 

    Les rapports dans la sociétés, et notamment avec les banques, sont définis par des lois. Et je pense qu’elles ne sont pas trop mal faites.

    LE PROBLEME, c’est que les banques ne respectent pas les règles du jeu, arnaquent les clients avec le raisonnement suivant : sur 100 clients, une poignée ira devant le tribunal. Ceux là seront remboursés. Et l’on gagnera sur les autres.

    Dénoncer cela, c’est le sens de tous mes articles.

    Amitiés


  • Gérard Faure-Kapper Gérard Faure-Kapper 4 juillet 2017 13:54

    Bonjour, 

    Nous sommes dans le cadre d’une assignation pour demander le remboursement des frais d’intervention.
    Ces arguments sont en réponse aux arguments de la banque utilisés couramment dans leurs conclusions en réponse.
    Si une personne est dans ce cas, elle verra dans les conclusions de l’avocat adverse toujours les mêmes arguments.
    D’où ce regroupement d’arguments.


  • Gérard Faure-Kapper Gérard Faure-Kapper 3 juillet 2017 20:41

    Vous me semblez très au courant des techniques utilisées en agence pour une grand mère au chômage.



  • Gérard Faure-Kapper Gérard Faure-Kapper 3 juillet 2017 13:37

    Loatse.


    Je vous remercie pour votre réponse. Avec votre permission, je la publie sur le blog de notre association.

    Pour info, je ne suis pas un client mécontent et ne suis pas concerné par ces frais. Je suis juste un directeur d’agence à la retraite qui se désespère de voir des employés comme vous, totalement imperméable à toute notion juridique.

    Vous êtes certaienement d’une ancienne génération, ceux qui régnaient dans leur quartier comme des petits barons, ivres du pouvoir que leur conférait leur position et qui leur permettait de compenser une vie marquée par des échecs successifs..

    Cet employé que vous êtes a l’impression d’accorder une faveur en acceptant de payer une écriture. 

    De plus, il a le pouvoir de clôturer le compte, d’exiger le remboursement des prêts, de ruiner définitivement la personne. Mais, par grande bonté, il n’utilise pas ce pouvoir. Il le réserve pour plus tard.

    Vous reconnaissez « jouer au con » en envoyant un courrier tarifé par jour, pour assommer encore plus votre victime.

    Je ne sais pas qui est votre responsable et qui vous a formé, mais je ne le félicite pas. 
    Alors, je vais vous dire plusieurs choses.

    D’abord, les gens comme vous sont la honte de notre profession. Votre comportement rejaillit négativement sur tous vos collègues. Vous êtes ainsi responsable directement du climat détestable qui s’est instauré entre nous et la clientèle.

    Je ne résiste pas à la tentation de vous apporter quelques informations de base.

    Quand une écriture se présente sur un compte non approvisionné, il s’agit d’une demande tacite de crédit.

    Le chargé de clientèle ne décide pas de payer ou non, il décide d’accorder ou non un découvert. Sinon, comptablement ça n’a pas de sens.

    Le découvert ainsi accordé ne s’appelle pas découvert non autorisé, mais découvert non contractualisé.

    Il ne s’agit pas d’un incident de paiement. On parlera d’incident de paiement uniquement si vous n’accordez pas de découvert. Et l’incident ne concernera pas la banque, mais le client et son créancier.

    Cette situation n’est pas une anomalie de fonctionnement. Demander un crédit à une banque n’est pas une situation anormale.

    Le découvert n’est pas un crédit gratuit. Il a un prix. Ce prix se décompose entre les frais propotionnels (les intérêts) et les frais fixes (les commissions d’intervention) 

    Le TEG n’est pas une boîte magique dans laquelle on inclu ou non des valeurs. C’est l’expression d’un rapport proportionnel entre les montants, la durée et les coûts.


    Toutes les réclamations des clients ne reposent pas sur une supplication d’un client qui vient baiser vos pieds pour obtenir une faveur. Ces réclamations se basent sur des constatations techniques ayant une correspondance juridique.


    Enfin, une dernière chose. J’ai souvent mis en garde les employés des agences du fait que l’avenir est sombre. Les banques regroupent leurs agences. Il y a des charettes. 

    Si vous êtes dans ce cas, je vous conseille de falsifier votre CV et de retirer tout lien avec la banque. Mieux vaut dire que vous n’avez rien fait pendant 10 ans que d’avouer votre passé d’employé de banque.

    Et n’oubliez pas. Les clients se retournent de plus en plus vers les tribunaux pour régler les litiges. La question des frais renvoie sur des pratiques usuraires.

    L’usure est un délit qui se juge en correctionnelle.

    Croyez vous que vos supérieurs feront une peine de prison à votre place ?

    Méditez ça... cher fusible.. 


Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv