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Accueil du site > Culture & Loisirs > Culture > Avatar - La voie de l’eau (Décryptage)

Avatar - La voie de l’eau (Décryptage)

En principe dans mes critiques de films, je suis autant que possible accommodant, ne pas tendre vers l’arbitraire. Par ailleurs, il ne serait pas équitable de retenir des films avec peu de moyens financiers et de les comparer à des budgets colossaux. Faire une critique de film, c’est un peu appliquer la philosophie de Spinoza qui dit « Ne pas se moquer, ne pas se lamenter, ne pas détester, mais comprendre ». Sans oublier l’essentiel, visionner un bon film, c’est aussi passer un bon moment !

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Mais pour l’heure, "AVATAR : LA VOIE DE L’EAU" disponible récemment en DVD, il s’agit d’un film de James Cameron et Josh Friedman qui dépasse l’entendement. Voici quelques chiffres clés, il est sorti en salles en décembre 2022, un Budget de production de 2,2 milliards de dollars, ce qui en fait le film le plus cher de l'histoire. Pour la France, c’est 138,7 millions d'euros, ce qui en fait le film le plus rentable devant le film Titanic. L’histoire se déroule 13 ans après les événements du premier film Avatar, Jake Sully et Neytiri sont désormais mariés et ont trois enfants. Ils vivent en paix sur Pandora, mais cette paix est menacée par l'arrivée de nouveaux colons humains. Jake et Neytiri doivent alors se battre pour protéger leur monde et leur famille.
Le film a été salué par la critique pour ses effets spéciaux, ses décors et sa musique. Il a également été un succès commercial, battant de nombreux records au box-office.

Ça, c’est pour la mise en scène, en dehors du tapage mainstream habituel, en ce qui concerne ma critique, plus vraisemblablement un décryptage, je n’éprouve pas l’envie de refréner mes arguments pas vraiment approbatifs, sachant qu’il s’agit du film le plus cher de la planète. En même temps, on est aux antipodes du hard science-fiction, l'histoire "AVATAR : LA VOIE DE L’EAU" est un scénario avec une construction superficielle, naïve, un remake où on nous refait l’épisode des sioux qui ont anéanti New York. Le film présente un monde qui a pour postula original, les humains sont les méchants et les Na'vi sont les gentils. Les humains colonisateurs avides et destructeurs sont motivés par la cupidité et la soif du pouvoir, un classique, tandis que les Na'vi sont des êtres pacifiques et respectueux de la nature. Cette opposition manichéenne est simpliste et déçoit, elle ne permet pas une exploration plus nuancée des relations entre les deux peuples, elle ne rend pas compte de la complexité du monde réel. Dans le premier film, les animaux de Pandora étaient tous adaptés à leur environnement, les oiseaux volaient, les poissons nageaient et les mammifères marchaient, ben oui. Dans le deuxième film, ces règles semblent avoir été intensifiées et décomplexées avec des poissons qui deviennent volants, des dragons qui deviennent nageant, tous les gros animaux sont connectable par un cordon ombilical haut débit, c’est top. En prime, les humains soit les méchants ou Na’vi, tout le monde est bleus, c’est l’overdose de schtroumpfes bagarreurs.

On comprend rapidement qu’Avatar est un film qui ne se soucie pas beaucoup des règles de la science ou de la logique. Vous pouvez rétorquer, c’est du cinéma, du pur divertissement, néanmoins, même s’il ne cherche pas à être réaliste ou crédible, ce n’est pas une raison pour basculer dans le grotesque. Les règles du film sont constamment brisées, cela nuit à l'immersion du spectateur. Par exemple, dans Alice au pays des merveilles, les règles du film sont aussi constamment brisées, mais cela ne nuit pas à l'immersion du spectateur, car le film est présenté comme un rêve. Les changements de forme des animaux, les lois de la physique défiées et les personnages fous sont tous des éléments qui contribuent à créer un monde fantastique, un monde qui fait rêver le spectateur. Ils nous invitent à nous laisser déambuler et à oublier le monde réel. Alice grandit et rapetisse à volonté, les animaux parlent et pensent comme des humains, le temps est incohérent, les lois de la physique sont défiées. Tous ces éléments contribuent à créer un monde merveilleux et fantastique, qui nous invite à extravaguer, à imaginer.

C’est ce que n’arrive pas à faire le film de James Cameron et Josh Friedman avec Avatar, à la place de rêver, j’ai flippé, angoissé. Je tiens à souligner que les films qui font flipper et les films qui font rêver suscitent des émotions opposées chez le spectateur. Le premier provoque la peur, l'inquiétude et l'inconfort, tandis que le second procure la joie, l'émerveillement et le bien-être. De ce fait, Avatar est dans le mauvais registre, il déçoit, sauf s’il est vendu pour une énième version de Star Wars, dans ce cas la dénomination "AVATAR : LA VOIE DE L’EAU" est enjôlé, le titre "AVATAR : LA VOIE DE LA GUERRE" aurait été plus adéquate.

En dehors de ces considérations générales, ce que je ne supporte pas et qui me flanque instantanément de l’urticaire généralisée, c’est cette démonstration de matériel de guerre qui occupe une majeure partie du film, c’est long, interminable, aliénant, torturant, encore et encore de la pub pour l’Amérique, le prédateur invincible de la planète Terre ! En tant que spectateur, il est important de se poser des questions sur le message que le film véhicule. Il est également précieux de se rappeler que la promo de la violence militaire n'est jamais la solution, les images d’exacerbation militaire dans le cinéma ne sont pas sans risques. Les films qui mettent en scène la guerre doivent être réalisés avec un sens des responsabilités et doivent éviter de glorifier ou de banaliser la violence, le surdosage d’images de ce type est tout simplement indécent, surtout actuellement. Le film présente les humains comme des méchants qui utilisent leur puissance militaire pour coloniser Pandora. Les Na'vi sont représentés comme des victimes innocentes qui doivent se défendre, la démonstration de matériel de guerre renforce cette dichotomie entre les deux peuples. Elle montre que les humains sont capables de destruction massive, tandis que les Na'vi sont vulnérables. Cette affirmation dans le film peut être perçue comme une justification de la violence militaire. Elle peut être interprétée comme un message disant que la force des puissants est la seule façon de résoudre les conflits.

Avec cette démonstration, cette promo à haute dose de ces armes ultras sophistiquées, je me pose la question, c’est pour faire peur aux spectateurs ? En fin de compte, il est difficile de dire avec certitude pourquoi James Cameron a choisi de mettre en scène cette démonstration de matériel de guerre. Bienvenue à la foire internationale des armes de Nuremberg, le casque de réalité virtuelle qui permet aux soldats de se façonner à des situations de combat dans un environnement virtuel. Des robots petits ou gigantesques qui sont capables de patrouiller les zones dangereuses et de transporter des armes lourdes, équipées de caméras et de capteurs qui leur permettent de collecter des informations sur leurs environnements et de tout détruire sur leurs passages, cela me fait penser à la formule anxiogène sur Attila « Là où il passe, l'herbe ne repousse jamais ». Des lance-flammes portables capables de projeter un jet de flammes sur une distance de 100 mètres, une sensation de déjà vu avec la guerre en Irak. Le pistolet à laser, la combinaison de camouflage invisible, le pistolet à paintball à impulsion électrique, drone de reconnaissance, missile, fusil de sniper. Je n’oublie pas les quantités incommensurables d’avions, de navires, de sous-marins de guerre ... Bien sûr, on a la grande star qui fait souvent la une des journaux, la grenade à gaz lacrymogène, la seule arme que je connais - :). Une overdose de ridicule, la liste hélas n’est pas exhaustive.

Pourquoi autant d’acharnement ? Il est possible que ce soit pour faire peur aux spectateurs, ou simplement pour épater le public. Elle peut être interprétée comme une critique de la militarisation de la société, ou comme une métaphore de la lutte entre le bien et le mal, ou encore elle peut être interprétée comme un commentaire sur la nature de la violence. D’ailleurs, je me suis posé la question, si "AVATAR : LA VOIE DE L’EAU" présente des similitudes avec le conflit israélo-palestinien, je veux dire une allégorie du conflit israélo-palestinien. Dans les deux cas, on retrouve un conflit entre deux peuples, l'un étant plus puissant et technologiquement avancé que l'autre. Dans "AVATAR : LA VOIE DE L’EAU", les humains sont représentés comme des colons qui envahissent le territoire des Na'vi et les Na'vi sont représentés comme des autochtones qui défendent leur terre et leur culture. Dans le conflit israélo-palestinien, les Israéliens sont représentés comme des colons qui envahissent le territoire des Palestiniens et les Palestiniens sont représentés comme des autochtones qui défendent leur terre et leur culture.

Les Américains ont-ils un problème avec les armes ? La violence dans le cinéma américain peut-elle être considérée comme intrinsèque à leur culture ? En même temps, l'histoire de l'Amérique est marquée par la violence. Le pays a été fondé sur la guerre d'indépendance contre la Grande-Bretagne, il a ensuite connu une longue histoire de conflits armés, notamment la guerre civile, les guerres aborigènes et les guerres mondiales. Les guerres indiennes ont duré de 1607 à 1890, ensuite les États-Unis ont été impliqués dans des combats en continu un peu partout sur la planète, ces combats ne se sont pas toujours déroulés dans le cadre d'une guerre officielle. Pour les dernières hostilités la liste est impressionnante, pour l’essentiel, on a la guerre en Ukraine, la guerre au Yémen, la guerre en Syrie, la guerre au Mali, invasion de l'Irak, guerre d'Afghanistan, Libye, aujourd’hui le conflit israélo-palestinien avec leur soutien militaire économique et politique important. Ces conflits sont complexes et il est difficile de déterminer le rôle exact des États-Unis dans chacun d'eux.
Cette histoire de violence a façonné la culture américaine, elle s’incarne dans le cinéma. La culture américaine est une culture du consumérisme avec le cinéma qui est une industrie commerciale, les films américains sont conçus pour être divertissants et rentables en première instance. La violence est souvent utilisée comme un moyen de créer du suspense et du spectacle, ce qui peut conduire à une surexposition à la violence à toute les sauces. En deuxième instance, le cinéma américain est une forme de soft power, je veux dire que les États peuvent utiliser la force, mais aussi des stratégies d’influences qui visent à canaliser, soumettre les décisions des autres acteurs internationaux, sachant que les films américains sont diffusés dans le monde entier. Ils peuvent infléchir les perceptions des autres cultures sur les États-Unis, les ados ou les personnes crédules sont les premiers à se faire atomiser la cervelle par les images hyper violentes en continu. La violence dans les films américains contribue à la perception d'une Amérique démesurée et dangereuse. Le problème de la véhémence dans le cinéma américain est indubitable, elle mérite d'être prise au sérieux. Néanmoins, elle peut conduire à un sentiment d'anxiété, de peur et de colère, elle nous entraîne dans une distorsion de la réalité, en faisant croire (ou pas) à la personne qu'elle vit dans un monde dangereux et épouvantable.

On a également dans les films américains le concept philosophique du dualisme à toutes les sauces, il est souvent utilisé pour créer un conflit clair entre les protagonistes et les antagonistes. Le bon et le méchant, cliché rudimentaire, est l'un des dualismes les plus courants dans les films américains. Les protagonistes sont généralement représentés comme des individus courageux, justes et altruistes, tandis que les antagonistes sont généralement représentés comme des individus cruels, égoïstes et manipulateurs. Le vieux contre le jeune est un autre dualisme courant dans les films américains. Les personnages plus âgés sont souvent représentés comme plus expérimentés, plus sages et plus responsables, tandis que les personnages plus jeunes sont souvent représentés comme plus audacieux, plus impulsifs et plus idéalistes, des recettes bien huilées qui le plus souvent agace le téléspectateur réfléchi. Le noir contre le blanc est un dualisme qui est toujours utilisé de manière plus controversée. Soit la thèse ou la doctrine métaphysique qui établit l'existence de deux principes irréductibles et indépendants ont souvent été instrumentalisées pour représenter des conflits raciaux ou ethniques. Il est inconcevable que la culture cinématographique américaine n’intègre toujours pas le fait qu’il n’existe pas de races humaines sur le plan biologique, mais seulement une seule espèce humaine qui partage les mêmes ancêtres et le même patrimoine génétique (Darwin, LUCA). Que la couleur de peau n’est qu’un trait physique parmi d’autres comme la longueur du nez, la couleur de la peau dépend uniquement de la quantité de mélanine. Elle n’a aucune influence sur l’intelligence, le caractère ou les capacités des personnes, sachant que la culture n’est pas innée, mais acquise. Elle varie selon les contextes historiques, géographiques et sociaux. Elle peut être enrichie par le dialogue et le respect mutuel entre les peuples.
On a compris que le dualisme philosophique est un outil puissant qui peut être utilisé pour créer des histoires captivantes et engageantes. Il peut également être utilisé pour explorer des thèmes complexes tels que le bien contre le mal, la jeunesse contre la vieillesse et la différence culturelle. Pour faire simple, une overdose du gentil que personne ne croit et le méchant que tout le monde considère comme le meilleur. Bien sûr, le dualisme n'est pas le seul outil utilisé dans les films américains.

De nombreux films explorent des nuances et des complexités plus subtiles. Entre autres "AVATAR : LA VOIE DE L’EAU", c’est plus la vision patriarcale et misogyne qui dérange, par exemple le cliché de la relation du père et son fils à toutes occasions, Jake Sully et ses deux fils Neteyam et Lo’ak, super héros Miles Quaritch et le sien avec sa bouille de stagiaire, Spider Tonwari, le chef des Metkayna et son fils Aonung. Soit une psychanalyse à deux balles, genre comment les deux fils de Jake Sully vont-ils apprendre à respecter les consignes de leurs pères ? Comment le colonel Quarritch va-t-il reconquérir l’amour de son fils ? Comment Aonung va-t-il se soumettre à l’autorité de son père ?
Côté misogynie c’est à tout va, les femmes et les filles pleurnichent en continu, en fait l’image de la femme hystérique et râleuse incapable de contrôler ses émotions ou sentiments. Avatar remet les femmes dans une place que l’on pensait disparue, je veux dire au foyer. D’ailleurs, les injonctions à répétition qui leur sont adressées révèlent cette évidence, « Sois courageuse », « Reste à ta place », « Pour une fois, sois forte ». Parfois à l’inverse, c’est le machisme féminin qui prend le relais, je passe sur les femmes super-héros qui pratiquent l’art du kung-fu augmenté de bonds abracadabrants. À l’heure où les combats féministes connaissent une dynamique internationale sans équivalent, James Cameron nagerait-il définitivement à contre-courant ?

À présent vous avez compris que le film en dehors de son superlatif « au fil de l’eau » ne m’a même pas fait rêvasser. Pour la petite histoire, le film de James Cameron aurait pu être encore plus long si le réalisateur n’avait pas coupé au montage dix minutes de film prolongeant des scènes d’action pleines de coups de feu. Cameron a en effet expliqué au magazine Esquire Middle East, « j’en ai assez de faire dans le fétichisme autour des armes à feu dans mes films étant donné les problèmes liés à ce type de violence aux États-Unis », c’est peu dire. Ouf !

Deuxième amendement de la Constitution des États-Unis
Le deuxième amendement de la Constitution des États-Unis d’Amérique reconnaît la possibilité pour le peuple américain de constituer une milice (« bien organisée ») pour contribuer « à la sécurité d'un État libre », et il garantit en conséquence à tout citoyen américain le droit de détenir des armes. Il fait partie des dix amendements écrits et votés le 15 décembre 1791, couramment appelés « Déclaration des droits » (Bill of Rights). Long de seulement 28 mots, il fait l'objet de nombreux débats liés au contrôle des armes à feu et au droit du port d'armes.

Auteur Gérard Copin pour la tribune libre Agoravox
#gcopin


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10 réactions à cet article    


  • Gégène Gégène 2 novembre 2023 10:20

    Osons le dire :

    pour une voie de l’eau, c’est carrément un naufrage . . .

    (et pourtant j’avais adoré le premier opus)


    • Decouz 2 novembre 2023 10:50

      Après avoir vu le premier qui avait l’avantage de la nouveauté, j’ai été assez déçu, je me suis ennuyé, les effets spéciaux ne suffisent pas à faire une oeuvre d’art, quant à l’interprétation, je préfère des vrais acteurs.


      • chapoutier 2 novembre 2023 11:21

        C’est drôle que personne ne relève l’inversion wokiste de ces films.

        les bons ( représentant la nation exceptionnelle que sont les USA) agressés par d’affreux matérialistes.


        • Seth 2 novembre 2023 12:15

          @chapoutier

          Parce que les USA ne sont pas matérialistes ? smiley


        • chapoutier 2 novembre 2023 13:18

          dans la vision véhiculée par les démocrates wokistes, non, mais dans les faits, c’est les plus grands matérialistes qui soient je suis bien d’accord.

          encore une fois, c’est le jeu de la propagande, nous sommes le camp du bien contre le mal (personnifié au début par les communistes matérialistes).


          • chapoutier 2 novembre 2023 13:19

            @chapoutier
            une réponse à Seth


          • Plus robert que Redford 3 novembre 2023 11:40

            J’adhère totalement à tous les arguments de l’article !

            outre la sensation réconfortante de respirer l’air frais à la sortie de la projection, après m’être fait chier pendant plus de deux heures, j’ai été réconforté de retourner à une existence normale, sans bruit, sans fureur, paisible, quoi !

            Après un café dans un troquet voisin, sentant bon l’humanité ordinaire autant que pacifique, je me suis rendu compte que, comme le souligne l’auteur du billet, ce qui ressort de ce genre de film, c’est la psychologie / psychanalyse typiquement étasunienne à même pas deux balles du truc.

            C’est d’ailleurs le fil rouge de toutes ces superproductions bling-bling d’outre-Atlantique.

            Ça ravit notre jeunesse, c’est pernicieux, ça lave leurs cerveaux du peu de culture européenne que nous avons tenté d’y instiller, bref, c’est de la pure propagande américaine, celle que nous subissons depuis 1946 au moins.

            Une débauche d’effets spéciaux, de foutaises numériques, écœurante comme ces gros gâteaux gras/crémeux et sursucrés qui multiplient les obèses là-bas.

            Pourtant, le cinéma américain regorge de pépites intelligentes (si, si, y’a des personnes intelligentes aux usa !)

            Je fus fort déçu par « La liste de Schindler » excessivement tire-larmes, et je suis allé voir « Munich » du même Spielberg, à reculons , redoutant une propagande sionisante débridée.…

            Ô surprise !

            La complexité du propos et l’ambivalence des protagonistes m’a totalement réconcilié avec l’auteur.

            Comme quoi… !


            • #gcopin #gcopin 3 novembre 2023 16:06

              @Plus robert que Redford

              "Pourtant, le cinéma américain regorge de pépites intelligentes (si, si, y’a des personnes intelligentes aux usa !) " C’est bien de le dire, j’aurais dû le préciser dans mon article. Merci pour le retour.


            • Plus robert que Redford 3 novembre 2023 21:53

              @#gcopin
              Ouaip !
              Il revient à ma mémoire une citation de Pierre Conesa dans une interview par Thinkerview, qui disait :
               « Il n’y a pas d’enseignement en histoire aux usa ; le professeur d’histoire/géo, c’est Hollywood … »


            • #gcopin #gcopin 4 novembre 2023 14:20

              @Plus robert que Redford
              Ah ah, le problème c’est que tu ne sois pas très loin de la vérité

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