Bonjour, Christophe

« Cela met juste en évidence que la personne qui parle ne connait absolument rien au Football professionnel et aux rouages du football »

  Si vous aviez lu mon article, mis en lien par Aristide, vous n’écririez rien de tel.

Outre que j’ai joué durant 32 ans, mais un niveau modeste (Promotion d’Honneur), j’ai accompagné les débuts du Paris FC en Division 2 puis en Division 1 jusqu’au moment où il est devenu Paris SG en choisissant de s’allier à Saint-Germain pour les structures amateurs en lieu de place de Montreuil.
A cette époque, j’ai bien connu, non seulement le vice-président Guy Crescent, mais également des gens comme Henri Patrelle et Fernand Sastre. Ainsi que quelques joueurs dont les internationaux Jean-Claude Bras, Jean Djorkaeff (j’alllais régulièrement prendre des pots chez son beau-frère à La Fourche, Paris 17e) et Louis Floch.

Cette aventure terminée, j’ai encadré de jeunes footballeurs durant pas mal d’années au PUC où les jeunes jouaient alors en Division d’Honneur (plus haut niveau jeunes de la Ligue de Paris). Plusieurs des joueurs dont j’ai eu la charge ont été sélectionnés au niveau district et au niveau régional, ce qui m’a permis de connaître plusieurs CTD et le CTR de l’époque (tous d’anciens pros). Plusieurs de ces gamins sont allés en centre de formation et 3 sont devenus professionnels eux-mêmes.

J’ai arrêté de m’intéresser au foot en 1998, écoeuré par l’incroyable déferlement médiatique qui a été mis en place avant, pendant et après la Coupe du Monde (à côté le battage médiatique autour des JO de Paris 2024 est de la gnognotte).

« J’ai été sélectionné en équipe de France Cadet dans ce sport et il n’y avait aucun oligarque russe ni aucun investissement pétrolier », affirmez-vous.
C’était vrai votre époque. Ou à la mienne. Mais vous ne pouvez nier que ces investisseurs-là ont commencé à arriver au tournant du 21e siècle, et même avant chez certains de nos voisins !