Belle propagande mais tout est du baratin.
VOICI LA VERITE
Dès le début du XVIIIe siècle, les
agriculteurs arabes, assommés par les droits d’usure et criblés
de dettes, sont contraints de renoncer à leurs droits sur les terres
(il n’existait pas de documents officiels de métayage). Ils
étaient en plus victimes de guerres intestines et de pillages par
les bédouins, qui volaient les terres mais ne les cultivaient pas.
Les villages disparaissent, la Palestine
devient donc une terre en friche, désertique d’un côté,
marécageuse de l’autre, où ne circulaient plus que les nomades.
Jusqu’à la première guerre mondiale, la
Palestine est décrite comme « Une terre qui était en grande
majorité désertique, avec des nomades empiétant continuellement
sur les zones habitées et ses agriculteurs. Le résultat a été une
négligence croissante du sol et une fuite des villages, avec une
concentration croissante des terres entre les mains d’un petit
nombre de grands propriétaires terriens, résidant fréquemment dans
des capitales arabes aussi éloignées que Beyrouth et Damas, le
Caire et le Koweït. »
La décision des juifs de créer leur nation va
révolutionner tout ça et susciter la colère et l’opposition des
cheiks arabes (qui récoltaient des impôts et prélevaient une
partie des cultures), des propriétaires terriens absents, des
usuriers (qui prêtaient de l’argent aux agriculteurs ruinés) et
des bédouins qui s’emparaient des terres.
La première colonie agricole a été fondée
en 1878 par un groupe de familles anciennes qui a quitté le quartier
juif de Jérusalem (où vivaient la majorité des juifs).
Concernant le rachat des terres, il s’agissait
majoritairement de grandes étendues appartenant à des propriétaires
absents, qui étaient considérées comme incultivables, a des prix
qui ont augmenté au fil du temps à cause de la demande des juifs,
ce qui a eu des répercussions positives sur le niveau de vie de
l’ensemble des habitants.
Il est à noter aussi que les organisations
juives décourageaient l’achat individuel, le but était de tout
mettre en commun et de cultiver les terres ensemble. Elles ont payé
ces terres plusieurs centaines de millions de dollars.
Les Palestiniens, syriens ou libanais, ou citadins d’origine tribale,
savent tous qu’au début du siècle et pendant le mandat
britannique, la région marécageuse des plaines et des collines de
pierre ont été vendues légalement par leurs pères ou leurs
oncles contre de l’or, cet or même qui est souvent à l’origine
de leur propre carrière politique ou commerciale.
Les Palestiniens qui sont aujourd’hui
réfugiés dans les pays voisins et qui étaient adultes au moment de
leur fuite savent tout cela, et aucune propagande antisioniste ne peut leur faire oublier que leurs
actuels exploiteurs nationalistes sont les dignes fils de leurs
exploiteurs féodaux d’hier et que les épines de leur vie sont
d’origine arabe et non juive. »