@Ruut

C’est bien plus large que ça.

Toutes les molécules qui peuvent aider l’organisme dans sa défense « anti-oxydante » sont les bienvenues. Et celles vous citez (ou issue de ce que vous citez) participent à cette opération d’aide « anti-oxydante ». C’est aussi le cas de « l’hydroxychloroquine » qui a une action « anti-oxydante » dans l’organisme (comme l’ivermectine, la vitamine C, la vitamine D,...).

Mais, comme le diable est dans les détails, il existe aussi une molécule ; « oxydante » cette fois ci, qui permet d’aider l’organisme à combattre les agents pathogènes. Parce que l’action oxydante de cette molécule ne nécessite pas d’actions anti-oxydantes pour contre-balancer ses effets oxydants. Il s’agit du « dioxyde de chlore » (formule ClO2). Le dioxyde de chlore diffuse très rapidement à travers les parois de l’estomac et apporte le dioxygène à la circulation sanguine. Le chlore, quant à lui, se lie au sodium (Na), très présent dans l’organisme, pour former du NaCl, c’est à dire du « sel », qui sera éliminé par les voies naturelles. Nul besoin, par conséquent, avec le dioxyde de chlore, d’apporter des « anti-oxydants » à l’organisme.

Le dioxyde de chlore est utilisé « massivement » dans l’industrie alimentaire pour éliminer les agents pathogènes présents sur les fruits et légumes, sur les oeufs, dans l’eau du réseau, dans la fabrication du fromage, bref, à des concentrations physiologiques il n’est pas dangereux pour l’organisme humain. A ne pas confondre avec l’hypochlorite de sodium, de formule NaClO (eau de Javel) qui agit par « chloration » et non pas par « oxydation ».

Mais le dioxyde de chlore a rapidement été mis sur la sellette parce qu’aucune preuve de son efficacité n’existait dans la lutte contre la maladie appelée « covid19 ». Et pourtant le dioxyde de chlore, à dose physiologique, est une puissante aide à éliminer les matières particulaires issues de la pollution que nos organismes peuvent ingérer lors des périodes de pollution augmentée.